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28/05/2012

LE JOURNAL DE PERSONNE: "VOICI L'HOMME"

Femme magnifique à l'intensité hors-norme.

Superbe et talentueuse...

A l'écriture riche et précise.

Il est important de ne pas passer à côté!

Ne manquez pas de vous rendre sur son site: c'est une mine!

http://www.lejournaldepersonne.com/

Ou sur sa chaine Youtube:

http://www.youtube.com/watch?v=VuiAdm6sSFE&feature=mfu_in_order&list=U


Elle
Qui voulez-vous que je délivre, Jésus ou Barabbas ?

Le peuple :
Barabbas

Elle
Parce que j’écoute le peuple, le peuple doit m’écouter
Mon but n’est pas de vous offenser, ni de vous influencer mais de vous aiguillonner vers un peu plus d’équité.

Le peuple :
Barabbas

Elle
Il est populaire à ce que je vois et comme je ne suis pas populiste…permettez-moi de m’interroger sur la vox populi…

Le peuple :
Barabbas

Elle
De deux maux il faudrait peut être choisir le moindre… Jésus n’a rien fait… de mal tandis que l’autre a commis toutes sortes de forfaits.

Le peuple:
Barabbas

Elle
C’est parce qu’il vous a miné que vous épargnez le démon? Ou parce qu’il vous a épargné que vous condamnez l’innocent?

Le peuple :
Barabbas

Elle
Vous m’apprenez quelque chose… que vous apprenez plus avec le mal… qu’avec le bien.
Le malheur est votre Dieu… replongez-vous dans la boue!

Le peuple:
Barabbas

Elle
Je ne vais pas m’en laver les mains mais je vais prier le seigneur pour qu’aucun peuple ne soit plus jamais entendu

Le peuple :
Barabbas

Elle
Parce que vous croyez qu’il est révolutionnaire… c’est cela ? Le révolutionnaire est celui qui ne fait aucun bruit.

Le peuple :
Barabbas

Elle
Je ne te flatterai pas en te disant que grâce à toi, ô peuple ! on ne saura plus jamais ce qu’est la vérité!

L’INSTINCT DE L’ODE-LA

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L’INSTINCT DE L’ODE-LA

 

Cela restera à jamais comme un jour autre…

 

Niches intemporelles aux angles morts du temps

Dans les décors animés de son imaginaire,

La magie du présent sature le quotidien.

 

Yeux verts fascinants sont l’amour d’une vie,

Incommensurable passion aux flammes embrasées…

 

Par la porte de lumière qui maintenant est ouverte,

Il marche dans l’infini d’instants-éternités

Qui brillent du soleil jusqu’à des nuits sans fin.

 

En chaque pépite de ce temps qui scintille

Au beau d’un sourire, récolter un baiser,

Déposé sur ses lèvres dans un battement d’ailes,

L’instinct de l’ode-là qui maintenant s’éveille

A l’avenir soleil qui à l’instant caresse

La précieuse étincelle, partition de la vie.

 

P. MILIQUE

27/05/2012

LES BODIN'S: "DES GENDARMES PAS COMME LES AUTRES"

 

LES BODIN'S

 
 
 
 

La maréchaussée en folie:

des gendarmes pas comme les autres

Avant le spectacle Grandeur Nature des Bodin's, la maréchaussée veille sur les spectateurs et sur nos routes de campagnes

Découvrez l'univers déjanté des Bodin's sur http://wizdeo.com/s/les_bodins

LE JOURNAL DE PERSONNE: "REMEMBER "

Femme magnifique à l'intensité hors-norme.

Superbe et talentueuse...

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Il faisait nuit, ce 27 mai, jour anniversaire.
Il pleuvait à torrent…
Et je roulais à toute allure… comme à contre courant…
En traversant un petit village, sous éclairé pour raison d’austérité, j’ai renversé un jeune homme que je n’ai pas vu sortir de la pénombre.
En tombant sa tête a heurté le trottoir… il est mort sur le coup!
En essuyant les blessures, je me suis effondrée auprès de ce compagnon d’infortune…
Comme écrasée sous le poids d’un injustifiable péché.
Quand j’ai repris connaissance… j’étais allongée dans un lit et bercée par une dame d’un certain âge…
J’avais perdu la mémoire et le fin fond de mon histoire.
J’avais du mal à aligner deux onomatopées… du mal à fixer le vertige de ne pas avoir envie de savoir pourquoi je suis toujours en vie.
La dame, pour je ne sais quelle raison, a pris l’incroyable décision de veiller sur moi, de me nourrir, de me loger et de me soigner… sans rien exiger en retour. Ni justification. Ni gratification.
Inspirée par je ne sais quelle étoile, elle m’a innocenté auprès des autorités et s’est faite passer pour le chauffard qui a eu l’accident et causé la mort d’un innocent et la perte de mémoire d’une passagère. Elle a tout pris sur elle. Le mal et l’effet du mal.
Et pendant des années je l’ai vu sourire pour me faire sourire et pleurer pour que je cesse de souffrir.
Et si je vous disais que le jeune homme que j’ai écrasé était son fils… vous me diriez que mon histoire ne peut pas être vraie.
Et pourtant, elle l’est… je le jure encore aujourd’hui en tremblant.
Je te demande pardon… ma petite maman et je te souhaite de tout mon cœur une bonne fête !
Cet accident a eu lieu il y a 10 ans… il y a donc prescription. J’ai volontairement passé sous silence l’un de ces trois éléments, je vous laisse deviner lequel :

1- je n’avais pas mon permis de conduire
2- cette dame n’était pas ma mère… mais juste une mère
3- on n’a jamais retrouvé le corps de ma victime.

FISSURES SOURNOISES

Sillon.asp.jpg

 

 

FISSURES SOURNOISES


 

Pourquoi écrit-on ce qu'on ne dit pas ?

 

 

Il faut être attentif à toutes les dissonances,

 

A toutes les cassures potentielles.

 

Ce sont elles qui constituent, inépuisables,

 

Les sources du désenchantement

 

Et contribuent à emmêler un peu plus encore

 

L'écheveau tumultueux de ce grand naufrage qu'est la vie.

 

Il serait inconsidéré,

 

Même par immense lassitude,

 

De banaliser le cheminement qui nous mène

 

Jusqu'au désastre final,

 

Jusqu'à l'inéluctable.

 

 

Qu'il est donc douloureux d'éprouver à ce point

 

Le sentiment trop présent de ce qui fuit,

 

De ce qui passe, de ce qui meurt !

 

Et vaine la tentative de calfatage

 

Des fissures sournoises de la vie.

 

 

Il faut pourtant bien s'attacher à sauvegarder l'essentiel.

 

Et crever un jour l'abcès obsédant du désespoir.

 

Celui de nos existences démontées.

 

 

Certes nos échecs sont criants, nos réussites sont invisibles,

 

Aussi invisibles que les ténèbres durant l'éclat du jour.

 

Alors, il s'agit d'entrer en dissidence,

 

Ne plus être du nombre des égarés.

 

Et s'obstiner à creuser un autre sillon

 

Pour aller encore d'étonnements en éblouissements.

 

Pour que la couleur de l'inquiétude

 

Se soumette enfin à celle de l'espoir.

 

 

Et l'on se mure dans un silence qui ne sert

 

Qu'à masquer nos angoisses.

 

Cela nous sert aussi à oublier le temps qui enterre nos rêves.

 

Car il y a tant d'autres choses derrière nos illusions

 

Que l'on ne dit pas !

 

Alors, on l'écrit...

 

 

P. MILIQUE

26/05/2012

Rachelle PLAS Au Cahors Blues Festival le 10 Juillet 2011


Rachelle PLAS au CAHORS BLUES FESTIVAL le 10... par MILIQUE


Rachelle, (19 Ans et, accessoirement, vice-championne du monde de...judo), c'est une incroyable boule d'énergie à l'Harmonica démoniaque!
(Elle a aussi une voix -- dense -- à chanter le Blues.... mais ce titre-là est instrumental)
Elle propose un Blues moderne éminemment Groovy et plein d'explosivité.... qui ne laisse souffler son auditoire... qu'à la fin du set!
Voilà ce à quoi nous eûmes droit un soir de Juillet de l'année dernière.
Écoutez, rêvez, et laissez-vous transporter dans cet ailleurs qui vous convient bien! Sans aucune modération, bien sûr!l

LE JOURNAL DE PERSONNE: "LE QUEBEC LIBRE ???"

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J’ai envie de me bourrer la gueule… parce que les gens ne savent plus ce qu’ils veulent. Plus ils sont là, plus vous êtes seule.
Le premier qui a comparé la femme à une rose était un poète…
Le second étai un imbécile… ou un fils de pute…
Hijo de puta… ça passe mieux en espagnol et ça fait chier les anglo-saxons!
Des fois, j’ai du mal avec le romantisme…
Qui a dit que l’on peut compter sur les autres…
Foutaise! Et thèse romantique
On ne peut compter que sur soi-même…
Encore une foutaise et synthèse romantique.
Ça vous met tout de suite mal à l’aise d’apprendre que vous ne pouvez même pas compter sur vous-mêmes…
Je bois, à la mort du romantisme… parce que je suis l’être le plus inutile qui soit… je ne suis même capable de me servir… d’autres s’en servent pour mieux m’asservir.
J’ai décidé d’arrêter mes études et j’appelle tous mes camarades à en faire autant…
À bas le romantisme des négociations, des tractations et des viles compromissions!
Le Québec libre est une idée romantique…
Le monde des affaires est partout dans les fers, les chaînes qui s’enchainent… y a plus de liberté qui tienne… je ne vais tout de même pas payer pour garantir l’avenir de ce pays… c’est un comble… j’arrête toute étude sur fond d’ingratitude…
Nous sommes l’avenir et on veut nous faire endosser le passé ? Mais nous finirons par céder à l’appel du principe de réalité … voilà pourquoi je vous hais… vous autres… d’être encore plus décevants que la déception.
Et je me hais encore plus en me voyant compter les pots cassés du romantisme… sans lequel le Québec sera bientôt ivre mort … pour avoir vidé une bouteille remplie avec l’air du temps !

RÊVERIE

SPECTACLE.jpg 

 

 

RÊVERIE

 

 

Il me plaît de rester volontairement solitaire

 

Dans l’embrasure vive du temps qui passe,

 

Et de m’abandonner sans plus de retenue

 

Aux délices d’une rêverie résolument irresponsable.

 

 

Je trace ma propre trajectoire

 

Grâce à l’inadéquation fondamentale

 

D’une profonde flânerie dans l’imaginaire,

 

Attentif au sifflement du vent,

 

Curieux du spectacle continue des nuages.

 

 

Toujours différent le spectacle!

 

 

P. MILIQUE

25/05/2012

AUX ESCLAVES: Une mémoire de l'esclavage

AUX ESCLAVES


Une mémoire de l'esclavage (6’05’’)
« La victime, le résistant et l'abolitionniste »

Premier port négrier français au 18ème siècle, Nantes vient d'inaugurer son Mémorial de l'abolition de l'esclavage. Mais pourquoi commémorer l'abolition, et pas l'esclavage lui-même ? C'est ainsi que des descendants d'esclaves interpellent Jean Blaise, incontournable "entrepreneur de la culture" à Nantes. Dialogue imprévu autour de questions profondes.

Enregistrements : avril 12
Mise en ondes & mix : Arnaud Forest
Réalisation : Jérôme Thorel

LE JOURNAL DE PERSONNE: "UNE ETOILE EST NEE"

Femme magnifique à l'intensité hors-norme.

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http://www.youtube.com/watch?v=VuiAdm6sSFE&feature=mfu_in_order&list=U 


N’approchez pas trop… trop c’est trop
Non, je n’ai pas dit troupeau
J’ai juste attiré votre délicate attention sur le phénomène de l’attroupement
Ça se bouscule… ça s’accule juste pour voir cette toile… et quelle toile !
Une toile est née…
Sou un ciel étoilé
Je parle de vos yeux qui brillent…
De vos désirs qui scintillent…
Reculez s’il vous plaît…
Cette toile ne va pas s’envoler…
Qu’est-ce qu’elle représente ?
Elle est plutôt bizarre votre question…
Vous voulez vraiment savoir ce que cette toile représente ?
C’est de l’art, monsieur, oui de l’art… ça sert bien à quelque chose même si on ne sait pas à quoi ça sert…
Elle représente quoi?
Vous êtes sérieux ?
Non parce que j’étais à mille lieux de me poser la question…
Elle est peut-être toute grise… mais vous….
Vous êtes ce qu’on appelle un bleu
Avec ce genre de museau, on ne va pas au musée
On va errer au pâturage
Non… je ne suis pas désobligeante…
Je suis hors de moi… et quand je suis hors de moi… mes humeurs deviennent divergentes…
Y en a marre… d’avoir… à justifier l’art
Je vous prends la tête jeune homme ?
Détrompez-vous, parce qu’elle est déjà prise…
Et avec ce genre de tableau,
J’essaye tout simplement de vous la rendre!
Oui, c’est une toile grise… madame… non ce n’est pas une contrefaçon de l’immaculée conception…
À mon avis, et même si je n’ai pas le droit d’en avoir un, ce serait plutôt la représentation de l’immaculée déception…
Oui, on peut dire tout et le contraire de tout…
Surtout quand il n’y a rien à dire…
Pour les uns… ça représente quelque chose…
Pour d’autres, ça ne représente rien…
À chacun selon son émotion….
Ce tableau peint en gris en dit plus long sur vous que vous-même…
Mirez… admirez
Il n’y a que l’art qui puisse vous servir de miroir…
De qui ? A qui? Et pour qui ? La belle avalanche d’inepties !
De qui est cette toile? De celui qui l’a peint pardi!
A qui est cette toile? Ce tableau appartient à ma galerie… d’art…
C’est compris !
Pour qui est cette toile ? Pour celui qui ne compte pas
Combien vaut cette toile ? Ah! Ah! Ah !!!!! Le prix est fixé par celui qui y trouvera son compte.
Et qui y trouvera son compte ? Je n’en sais rien… pour le moment… c’est Personne

MILIEU INHOSPITALIER

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MILIEU INHOSPITALIER


Esseulé dans un milieu inhospitalier,
Toile de fond menaçante et triste à l'immensité aride
Qui marque de noir les choses et les êtres.

Comment supprimer la solitude de ces espaces glacés
Et noyer sa douleur dans l'infinitude de ce microcosme ?

Comment faire pour que les eaux rugissantes de la colère
Ne se laissent volontairement submerger par le désir de révolte ?

Économie de mots, de gestes, de paroles et de sentiments
Dans une poussée intime inscrite
Au tréfonds expérimental qui endurcit.

Au dehors, c'est la nuit sombre,
Monde de brumes et de pluies arrogantes
Qui cache mal son secret brûlant.



P. MILIQUE

 

24/05/2012

LA MINUTE NECESSAIRE DE MONSIEUR CYCLOPEDE: "AUTHENTIFIONS QUELQUES JOCONDES".

AUTHENTIFIONS QUELQUES JOCONDES

La minute nécessaire de Monsieur Cyclopède - 14/02/1983 -

 

 

"La vraie Joconde (est) peinte à la main, la fausse Joconde s'pinte a la gnôle"(sic)


Production

 

Agence, Paris : France 3

Générique

 

Fournier, Jean Louis

 

Desproges, Pierre ; Valadie, Dominique